Des arbres se penchent :
C'est plus fort, plus fort que tout.
Accrochée aux branches,
L'air me semble encore trop doux.
Dans l'herbe écrasée, à compter mes regrets.
Allumette craquée et tout part en fumée.
Pendant que les champs brûlent
J'attends que mes larmes viennent,
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m'atteigne...
Ce soir-là on s'est embrassés sans se parler.
Autour de nous, le monde aurait pu s'écrouler.
Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux.
Au long de mes jambes, la caresse du feu.
Pendant que les champs brûlent
J'attends que mes larmes viennent,
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m'atteigne...
Elle était là, si douce, entre mes deux seins
Onde presque estivale, rumeur des beaux jours
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3 envolée(s) lyrique(s):
Jolie chanson qui fait justement partie de celles que j'ai sorti parmi les bottes de paille de mon grenier poussiéreux il y a quelques semaines.... C'est marrant !
Oui l'été se fait suggérer ça et là, mais prudence, le printemps vivifiant n'a pas dit son dernier mot ! :-)
j'écoutais ça au collège... euh... coup de cafard là du coup...
Usclade >
L'été est fureur ce que le printemps est clameur ;)
Dita >
rha ^^ moi je me fais Offspring ou Nirvana quand je me nostalgie de ma jeunesse "perdue" :D
là c'est aussi une espèce d'amour intemporelle ;)
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