Passer la main sur ton sexe encore sous l'emprise étroite, plus étroite.
Sentir sa forme se dessiner à mesure de mes va et vient.
Me tendre pour t'embrasser sur la pointe des pieds.
Mon cul qui s'arrondit dans ta paume.
Ses soirs sans plus que le désir ébauché.
Cette attente à te mordre.
Pas ici. Pas maintenant.
Nos ventres qui ont mangés tout l'air.
Nos mains qui reprendront la cadence.
Les effeuillages du soir
Sussuré par In Venus Voluptas Libellés : chaleureux, Les effeuillages du soir, vaporeux
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