Je ne sais plus si c'est la chaleur de tes yeux qui m'ont d'abord transportée...
Mai courait sur sa fin, et le jour se mélangeait à la nuit dans une valse délicieuse. J'enfilais ma robe après m'être rafraîchie d'une douche. 20h pointait et mon cœur battait la chamade comme jamais. Je sentais déjà mon sexe frémir de désirs interdits. Je me glissais vite fait dans mes escarpins et fonçais vers la bouche de métro. Je m'imaginais que tout le monde pouvait lire sur mon visage que ma petite escapade sentait le sexe à plein nez. Que mon sort en était jeté.
J'imaginais déjà ta main empoignant mon con et tes lèvres courant sur mon corps. Ta queue gonflant entre mes mains et glissant entre mes lèvres...
Et si c'était vous ? Je vous laisse imaginer la suite... J'attends avec impatience votre récit ! ;)
6 envolée(s) lyrique(s):
Je l'ai remarqué dès qu'elle est entré dans la rame ... elle avait le regard brillant et ce je ne sais quoi sur les traits. Elle est venue se positionner debout à mes coté, je pouvais sentir son odeur, elle était très attirante …J’étais tout à ma contemplation, quand le Métro s’est soudain immobilisé entre 2 stations …Elle s’est penché sur moi, l’espace d’un instant …elle m’a fait un splendide sourire en s’excusant, avant que les lumières ne s’éteignent plongeant la rame dans le noir. Quelques cris de gens affolés se sont fait entendre dans le fond du wagon, pour ma part je sentais toujours la présence de la petite brune contre moi …et son parfum entêtant.
Bizarrement, je commençais à me sentir à l’étroit dans mon boxer, je ne sais pas si j’ai rêvé mais sa main a pris la mienne tout doucement, je suis resté sans bouger et tout doucement elle a amené ma main contre sa poitrine que je sentais vibrer à travers l’étoffe. Je commençais à caresser son sein, doux et chaud pendant que mon caleçon devenait vraiment trop petit … Sa main a quitté la mienne et est venu caresser lentement mon torse à travers le tee-shirt et à descendre dangereusement vers le bas … Je sentais son cœur battre la chamade, à moins que ce ne soit le mien je ne savais plus trop où j’étais. J’avais très chaud et je bandais très dur …
J’ai glissé mes doigts sous le petit haut qu’elle portait et une bouffée d’adrénaline est venu traversé mon cerveau au contact de sa peau …
L’obscurité a cessé par à coup et la lumière est revenu dans le métro … j’ai retiré ma main, elle la sienne.
Elle avait les joues rouges, le métro a redémarré brusquement avec un ahhhh !!! de soulagement de la part de tous les voyageurs, presque tous …
A mon grand regret elle est descendue à la station suivante en m’envoyant un petit sourire désolé …qui restera gravé dans ma mémoire très longtemps …
Le sourire de la belle inconnue du métro …
Luz >
Merci d'être le premier à te lancer dans l'aventure ;)
On peut dire que c'est une charmante première soumission (sans jeu de mot aucun ;P ou un peu seulement)...
J'espère que les autres langues vont se délier maintenant que le jeu est ouvert !
Une bise ravie pour la peine... ;)
je vais te l'envoyer en PM tu le publliera ou pas ;-)
elDiablo >
J'attends de lire ça alors... ;)
Assis dans un métro dont je ne connais rien, me voilà en face de son sourire d'ange un peu brûlé sur les bords. J'étais parti pour lui demander la destination, je me retrouve à la fixer de haut en bas. C'est devenu machinal, mon regard saute au rythme de ces foutus rails qui secouent le wagon, et renforcent les effets que cette charmante personne produit déjà sur mon bas ventre.
Elle change de place. Pas là-bas. A coté...
Les Pixies chantent « Gigantic » dans mes oreilles. Très à-propos... Je suis l'album. « Vamos »...
Ma main glisse sur sa cuisse gauche, le vacarme du métro étouffe son soupir. Remonte. Effleure son sexe au travers de sa petite robe. Etouffe son gémissement. C'est le wagon ou ma main qui te fait trémousser ainsi ?
Mon jeu fait des émules, elle commence à faire de même sur mon vit qui n'a pas attendu « Wake up » de Rage Against The Machine pour se faire commander. Continue. Moi ce n'est pas les rails qui me font ces effets. Claustrophobie accrue dans mon slip.
Un hurlement strident déclame une station dont je me fiche royalement. Elle me lache, sort, je lui emboite le pas.
Il est tard, il n'y a personne |----| dans les couloirs, elle s'est engouffré dans l'un d'eux. Souvenirs de films d'horreur, traque d'une proie innocente, quitte à choisir, je suis Hellboy mon ange brûlé. Je te veux. Piste facile, ton parfum mélange de fleurs et de sexe m'appelle. Je te trouve au détour d'une affiche pour Versailles. Proie facile « Levitate me » ho oui ca sera simple j'y suis déjà.
Plaquée au mur, mes écouteurs et ta culotte ont sauté au niveau de nos pieds. Tu déboutonnes mon pantalon pour attraper ce qui te fait envie j'ai déjà attrapé ce que je voulais toucher palper effleurer sentir lécher. Je suis en mode Shuffle, la playlist de mes mains va partout fouille tate embrasse au passage j'attrape tes fesses pendant tu me masturbes ok de même_____ j'ai envie de toi la rame attendra.
Génuflexion soulève la jambe « Closer » résonne, je les voulais, je dévore ta chatte humide qui semblait m'attendre tant mieux, je remonte une goutte au nez – noisrevni - ta bouche engloutit ma bite, visitez Paris.
Relève et demi-tour sauvage je voulais te prendre je te tiens au bout de ma queue et me (___ proie facile, je parle de moi / rame / hurle°gémit. « Comin' out, comin' out, comin' out, each day ».
|
|
|
« A moment of clarity »
|
|
|
Tu files dans ton couloir, mais le tango lui est resté, les rêves m'énervent.
« Where is my mind » ?
Je suis dans la capitale, et je crois que je me suis paumé...
Djinn >
Merci pour cette autre approche plus hot ;)
Enregistrer un commentaire
Dites moi tout !