Votre regard en dit long.
J'y ai croisé de l'intense et du poignant.
Il m'a saisi comme si vous m'aviez déjà attraper par la taille.
Comme un éclair déchirant. Bruissant.
Cette rencontre fortuite me fait déjà intérieurement vous jurer allégeance.
J'aimerais déjà sentir votre barbe millimétrée exciter l'intérieur de mes cuisses.
J'aimerais vos mains sur mon corps saisissant mes cheveux pour faire tendre ma gorge.
Vous restez devant moi avec votre prestance naturelle.
Je boue.
Je me noue.
Je suis nue devant vous.
Animale, prise au piège.
Vous dans votre costume, le visage fermé.
Vous approchez pour me tendre une main.
Vous me faîte lever.
Je sens votre respiration.
Les centimètres qui nous séparent sont emplis de décharges.
Je ne dis rien.
Vous ne dîtes rien.
Vous posez votre autre main sur mon pubis.
J'ouvre la bouche. Ma première inspiration depuis votre entrée.
L'air m'abrutit, me saoule, me tourne la tête.
Vous remontez vos doigts sur le duvet de mon ventre, entre mes seins,
jusqu'à mon menton, m'obligeant à soutenir à nouveau vos yeux noirs.
Votre pouce m'écarte les lèvres. Je le suce avec envie.
Vous vous penchez, la bouche à mon oreille.
«c'est ta chatte que je veux sentir saliver»
Sans défense - 1
Sussuré par In Venus Voluptas Libellés : Charnelle, Fabulettes, métro, Sans défense
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3 envolée(s) lyrique(s):
On sent l'abandon au désir
J'aime particulièrement la chute :)
Vraiment à la hauteur de toutes espérances...
Marie Tro >
Comme un plongeon... ;)
La Hussarde >
^^ je l'aime beaucoup aussi ^^
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