Mon propre fantome
Sussuré par In Venus Voluptas Libellés : Chagrin, Mon combat contre le vaginisme, Sérieusement, Une vie rêvéeDepuis de longs mois, depuis trop longtemps
Je cours, angoissée par le tendre passé
Auquel, malgré mes pleurs, je suis tant attachée
Je fuis, encore et encore, par la main le serrant
Je voudrais l'égorger, je voudrais l'oublier
Mais ma main toujours caresse sa joue
Je voudrais tant pourtant lui tordre le cou
Et adieu mes regrets et mon cœur serré
Le couteau sous la gorge, même, je me noie
Dans un flot de compassion, si aimante
Mélangé de rage et d'images déprimantes
Je me relève pourtant, si dure que ce soit
Le combat intérieur n'est donc pas fini
Je ne souhaite pas haïr; alors que dire d'aimer ?
J'ai les rêves et l'espoir qui se sont tout ternis
J'ai le cœur qui ne veut plus se faire rejeté.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 envolée(s) lyrique(s):
Enregistrer un commentaire
Dites moi tout !